Sur une plage, probablement une plage de sable, deux hommes, deux "résidus de l’infini" et une jeune femme, libre.
Elle, c’est Grisélidis Réal, "péripatéticienne et écrivain", militante aussi.
Lui, c’est Jean-Luc Hennig, journaliste, romancier et passeur.
Il est à Paris, elle, à Genève. Cela se passe dans les années 1980.
Engagée, enragée souvent, elle lui raconte ses clients, ses luttes, ses tendresses, ses coups de gueule et ses coups de blues dans une langue directe, vibrante, vivante, pleine de verve.
Manuel Anoyvega ou Gabriel Levasseur au piano
18 rue de l’Orillon
75011 PARIS
"UN BLUES HORS D’AGE" d’Etienne Villain est toujours d’actualité…
HOMÈRE, JE T’AIME poursuit sa route vers la scène